Nancy

Adrien
Nancy

Lieux touristiques

Une des plus belles, si ce n’est la plus belle place d’Europe. Prenez le temps de la visiter de jour et de nuit, de vous installer en terrasse pour y boire un verre ou vous restaurer. En été, ne ratez pas le spectacle son et lumières projeté sur les façades des bâtiments: Hôtel de Ville, Opéra de Nancy et Hôtel de la reine.
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Place Stanislas
Place Stanislas
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Une des plus belles, si ce n’est la plus belle place d’Europe. Prenez le temps de la visiter de jour et de nuit, de vous installer en terrasse pour y boire un verre ou vous restaurer. En été, ne ratez pas le spectacle son et lumières projeté sur les façades des bâtiments: Hôtel de Ville, Opéra de Nancy et Hôtel de la reine.
Aujourd'hui, en plein cœur de Nancy, cet espace de 21 hectares, véritable poumon vert de la ville, idéal pour la course à pieds, invite à la promenade, au farniente avec ses grandes pelouses ouvertes au public, et à la détente : aire de jeux en bois sculpté, manèges, parc zoologique, roseraie, mini-golf, théâtre de marionnettes. Selon les saisons, attardez-vous dans la roseraie. Les roses, dans leur écrin, offrent une palette de couleurs et de parfums insoupçonnés!
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Parc de la Pepiniere
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Aujourd'hui, en plein cœur de Nancy, cet espace de 21 hectares, véritable poumon vert de la ville, idéal pour la course à pieds, invite à la promenade, au farniente avec ses grandes pelouses ouvertes au public, et à la détente : aire de jeux en bois sculpté, manèges, parc zoologique, roseraie, mini-golf, théâtre de marionnettes. Selon les saisons, attardez-vous dans la roseraie. Les roses, dans leur écrin, offrent une palette de couleurs et de parfums insoupçonnés!
Situé Place Stanislas, l’Opéra est l’un des 5 Opéras Nationaux de France avec Lyon, Strasbourg, Bordeaux et Montpellier. D’une capacité de 1014 places, ce remarquable théâtre à l’italienne vous invite à partager des spectacles version grand format. Dirigée depuis 2001 par Laurent Spielmann, la grande scène lyrique nancéienne propose une programmation diversifiée, pour ouvrir ses portes à tous les publics ! Parcourir l'ensemble du répertoire, de la musique ancienne à la musique d'aujourd’hui, proposer à la fois les grands chefs d'œuvres du répertoire et de passionnantes découvertes lyriques, tels sont les ingrédients qui font aimer l'opéra sous toutes ses formes. Rencontres, récitals, concerts apéritifs et découverte des coulisses sont aussi régulièrement au menu. Le label d’Opéra national Le 1er janvier 2006, le Ministère de la Culture et de la Communication a attribué le label d'Opéra national à Nancy. Cette distinction souligne la qualité du travail artistique et des compétences des équipes de l'Opéra national de Lorraine. Elle positionne Nancy comme un lieu de dimension nationale et internationale pour les arts lyriques. Les productions nancéiennes sont par ailleurs régulièrement saluées par la critique. L’Orchestre symphonique et lyrique de Nancy L’Orchestre symphonique et lyrique de Nancy (OSLN) propose chaque saison une série de concerts à la salle Poirel, et ce depuis son inauguration en 1889. Il accompagne aussi les productions de l’Opéra national de Lorraine. L’OSLN s’est produit avec de prestigieux solistes. Ces dernières années, il a partagé l’affiche avec Christian Zaccharias, Bruno Léonard Gelber, Montserrat Caballe, Gundula Janowitz, Salvatore Accardo, Natalia Gutman, Alicia de Larrocha, Brigitte Engerer... De talentueux chefs invités l’ont aussi dirigé : Woldemar Nelsson, Manuel Rosenthal, Stephan Kovacevitch, Armin Jordan, Heinz Wallberg, Louis Langrée, Evelino Pido, Christian Arming, Juraj Valcuha, Kirill Karabits... Sebastian Lang-Lessing, Paolo Olmi, Tito Muñoz et Rani Calderon se sont succédé en tant que directeur musical
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Opera National de Lorraine
1 Rue Sainte-Catherine
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Situé Place Stanislas, l’Opéra est l’un des 5 Opéras Nationaux de France avec Lyon, Strasbourg, Bordeaux et Montpellier. D’une capacité de 1014 places, ce remarquable théâtre à l’italienne vous invite à partager des spectacles version grand format. Dirigée depuis 2001 par Laurent Spielmann, la grande scène lyrique nancéienne propose une programmation diversifiée, pour ouvrir ses portes à tous les publics ! Parcourir l'ensemble du répertoire, de la musique ancienne à la musique d'aujourd’hui, proposer à la fois les grands chefs d'œuvres du répertoire et de passionnantes découvertes lyriques, tels sont les ingrédients qui font aimer l'opéra sous toutes ses formes. Rencontres, récitals, concerts apéritifs et découverte des coulisses sont aussi régulièrement au menu. Le label d’Opéra national Le 1er janvier 2006, le Ministère de la Culture et de la Communication a attribué le label d'Opéra national à Nancy. Cette distinction souligne la qualité du travail artistique et des compétences des équipes de l'Opéra national de Lorraine. Elle positionne Nancy comme un lieu de dimension nationale et internationale pour les arts lyriques. Les productions nancéiennes sont par ailleurs régulièrement saluées par la critique. L’Orchestre symphonique et lyrique de Nancy L’Orchestre symphonique et lyrique de Nancy (OSLN) propose chaque saison une série de concerts à la salle Poirel, et ce depuis son inauguration en 1889. Il accompagne aussi les productions de l’Opéra national de Lorraine. L’OSLN s’est produit avec de prestigieux solistes. Ces dernières années, il a partagé l’affiche avec Christian Zaccharias, Bruno Léonard Gelber, Montserrat Caballe, Gundula Janowitz, Salvatore Accardo, Natalia Gutman, Alicia de Larrocha, Brigitte Engerer... De talentueux chefs invités l’ont aussi dirigé : Woldemar Nelsson, Manuel Rosenthal, Stephan Kovacevitch, Armin Jordan, Heinz Wallberg, Louis Langrée, Evelino Pido, Christian Arming, Juraj Valcuha, Kirill Karabits... Sebastian Lang-Lessing, Paolo Olmi, Tito Muñoz et Rani Calderon se sont succédé en tant que directeur musical
Le musée des beaux-arts de Nancy est situé dans le pavillon Collège de médecine de la place Stanislas. Ses riches collections présentent les principaux courants de l'art en Europe du XIVe siècle à nos jours. Collection Daum Collection de référence, le fonds Daum (725 verreries dont environ 300 sont exposées) est présenté dans les 600 m2 du sous-sol du musée, autour des vestiges des fortifications de l’imposant bastion d'Haussonville, construit vers 1560 et remodelé par Vauban. L'exposition offre un panorama complet des recherches et des inventions incessantes et diversifiées de la manufacture en terme de techniques, de matières, de fonctions, de décors et de formes (pâte de verre, cristal, gravure à la roue ou à l’acide, décor intercalaire..) depuis son origine en 1878 jusqu'aux créations actuelles. L'entrée de la collection Daum au musée des beaux-arts remonte à 1905. À partir de 1982-1983, le fonds se constitue avec 127 pièces puis à partir de 1984, grâce à de nombreux achats et dons de la famille, de la cristallerie, des Amis du musée - association Emmanuel Héré et de la Société Lorraine des Amis des Arts et des Musées. Après l’extension et la rénovation du musée en 1999, 250 nouvelles pièces, principalement des services de table, sont venues s’ajouter à cet ensemble. En 2003, 60 pièces et ensembles réalisés entre 1893 et 1937 ont ainsi été sélectionnés et viennent enrichir aujourd'hui le patrimoine nancéien. L’origine du musée des beaux-arts de Nancy remonte à la Révolution française de 1789. Depuis, ses collections n’ont cessé de s’enrichir grâce à des acquisitions, des dons, des legs et des dépôts. De la Renaissance italienne aux plus grands noms de l’art moderne, elles illustrent l’histoire de l’art tant en peinture (Pérugin, Rubens, Caravage, Boucher, Delacroix, Manet, Modigliani, Picasso…) qu’en sculpture (Rodin, César…) et en arts graphiques (Callot, Grandville). La Lorraine y occupe une place importante avec des artistes comme Claude Le Lorrain, Émile Friant, Victor Prouvé, Francis Gruber ou encore Étienne Cournault. Les arts décoratifs sont également représentés par un ensemble exceptionnel de verreries provenant de la manufacture nancéienne Daum. Cette collection est présentée dans une scénographie spectaculaire au sous-sol autour de vestiges des fortifications. Enfin, le musée propose un ensemble d'œuvres du célèbre constructeur Jean Prouvé, originaire de Nancy. Les espaces Le Musée des Beaux-Arts témoigne de la richesse architecturale de Nancy. Le pavillon de la place Stanislas qui accueille le visiteur est un très bel exemple d’architecture du XVIIIe siècle. En 1936, une première extension est réalisée. Mais c’est en 1999 qu’un chantier d’agrandissement confère au musée son aspect actuel, intégrant un bâtiment très contemporain tout en conservant au sous-sol des vestiges de fortifications du XVe au XVIIe siècle.
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Musee des Beaux-Arts de Nancy
3 Pl. Stanislas
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Le musée des beaux-arts de Nancy est situé dans le pavillon Collège de médecine de la place Stanislas. Ses riches collections présentent les principaux courants de l'art en Europe du XIVe siècle à nos jours. Collection Daum Collection de référence, le fonds Daum (725 verreries dont environ 300 sont exposées) est présenté dans les 600 m2 du sous-sol du musée, autour des vestiges des fortifications de l’imposant bastion d'Haussonville, construit vers 1560 et remodelé par Vauban. L'exposition offre un panorama complet des recherches et des inventions incessantes et diversifiées de la manufacture en terme de techniques, de matières, de fonctions, de décors et de formes (pâte de verre, cristal, gravure à la roue ou à l’acide, décor intercalaire..) depuis son origine en 1878 jusqu'aux créations actuelles. L'entrée de la collection Daum au musée des beaux-arts remonte à 1905. À partir de 1982-1983, le fonds se constitue avec 127 pièces puis à partir de 1984, grâce à de nombreux achats et dons de la famille, de la cristallerie, des Amis du musée - association Emmanuel Héré et de la Société Lorraine des Amis des Arts et des Musées. Après l’extension et la rénovation du musée en 1999, 250 nouvelles pièces, principalement des services de table, sont venues s’ajouter à cet ensemble. En 2003, 60 pièces et ensembles réalisés entre 1893 et 1937 ont ainsi été sélectionnés et viennent enrichir aujourd'hui le patrimoine nancéien. L’origine du musée des beaux-arts de Nancy remonte à la Révolution française de 1789. Depuis, ses collections n’ont cessé de s’enrichir grâce à des acquisitions, des dons, des legs et des dépôts. De la Renaissance italienne aux plus grands noms de l’art moderne, elles illustrent l’histoire de l’art tant en peinture (Pérugin, Rubens, Caravage, Boucher, Delacroix, Manet, Modigliani, Picasso…) qu’en sculpture (Rodin, César…) et en arts graphiques (Callot, Grandville). La Lorraine y occupe une place importante avec des artistes comme Claude Le Lorrain, Émile Friant, Victor Prouvé, Francis Gruber ou encore Étienne Cournault. Les arts décoratifs sont également représentés par un ensemble exceptionnel de verreries provenant de la manufacture nancéienne Daum. Cette collection est présentée dans une scénographie spectaculaire au sous-sol autour de vestiges des fortifications. Enfin, le musée propose un ensemble d'œuvres du célèbre constructeur Jean Prouvé, originaire de Nancy. Les espaces Le Musée des Beaux-Arts témoigne de la richesse architecturale de Nancy. Le pavillon de la place Stanislas qui accueille le visiteur est un très bel exemple d’architecture du XVIIIe siècle. En 1936, une première extension est réalisée. Mais c’est en 1999 qu’un chantier d’agrandissement confère au musée son aspect actuel, intégrant un bâtiment très contemporain tout en conservant au sous-sol des vestiges de fortifications du XVe au XVIIe siècle.
La famille Majorelle est une famille d’artistes et d’industriels nancéiens. Auguste Majorelle (1825 – 1879), père de Louis, était décorateur sur faïence avant d’élargir son activité au décor sur bois. Son décès conduit deux de ses fils, Louis (1859 – 1926) et Jules (1866 – 1934), à prendre la relève, avec leur mère, à la tête de l’entreprise familiale. À la fin du siècle, l’affaire est prospère : le succès est au rendez-vous lors de l’Exposition universelle de 1900, à Paris. Les ateliers Majorelle collaborent avec la manufacture Daum pour la création de luminaires, pratiquant depuis 1897 la ferronnerie pour la réalisation de poignées, de serrures puis de rampes, d'éléments d'architecture et de montures pour les lampes. Ils ouvrent de nombreux magasins à travers la France. En 1885, Louis Majorelle épouse Jeanne Kretz (1864 – 1912). De leur union naît un fils unique, Jacques Majorelle (1886 – 1962) dont le nom restera lié à la peinture et au Maroc. La maison que Louis Majorelle fait construire à Nancy, parfois surnommée Villa Jika en référence aux initiales de Jeanne, est donc une maison de famille, celle d’une famille d’artistes. Louis Majorelle se réserve, au 2e étage, un atelier de peinture bien éclairé par une grande baie. Mais la villa est aussi une maison qui met en scène les réalisations des ateliers Majorelle : la salle à manger publiée dans le catalogue de 1904 (Les blés, modèle riche) ou les différentes vues du salon plusieurs fois reproduit, en sont de bons témoignages. Les Majorelle sont tout à la fois, artistes et industriels.
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Villa Majorelle
1 Rue Louis Majorelle
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La famille Majorelle est une famille d’artistes et d’industriels nancéiens. Auguste Majorelle (1825 – 1879), père de Louis, était décorateur sur faïence avant d’élargir son activité au décor sur bois. Son décès conduit deux de ses fils, Louis (1859 – 1926) et Jules (1866 – 1934), à prendre la relève, avec leur mère, à la tête de l’entreprise familiale. À la fin du siècle, l’affaire est prospère : le succès est au rendez-vous lors de l’Exposition universelle de 1900, à Paris. Les ateliers Majorelle collaborent avec la manufacture Daum pour la création de luminaires, pratiquant depuis 1897 la ferronnerie pour la réalisation de poignées, de serrures puis de rampes, d'éléments d'architecture et de montures pour les lampes. Ils ouvrent de nombreux magasins à travers la France. En 1885, Louis Majorelle épouse Jeanne Kretz (1864 – 1912). De leur union naît un fils unique, Jacques Majorelle (1886 – 1962) dont le nom restera lié à la peinture et au Maroc. La maison que Louis Majorelle fait construire à Nancy, parfois surnommée Villa Jika en référence aux initiales de Jeanne, est donc une maison de famille, celle d’une famille d’artistes. Louis Majorelle se réserve, au 2e étage, un atelier de peinture bien éclairé par une grande baie. Mais la villa est aussi une maison qui met en scène les réalisations des ateliers Majorelle : la salle à manger publiée dans le catalogue de 1904 (Les blés, modèle riche) ou les différentes vues du salon plusieurs fois reproduit, en sont de bons témoignages. Les Majorelle sont tout à la fois, artistes et industriels.
La Tour de la Commanderie Saint-Jean-du-Vieil-Aître est le plus vieil édifice visible de Nancy. Datant du XIIᵉ siècle, c'est l'un des rares monuments de style roman de la ville. La Commanderie est ainsi appelée en raison de son élévation près de l'ancien Aître (cimetière mérovingien) qui se trouvait à l'ouest de Nancy, près de l'étang saint-Jean. Edifiée vers 1170 par les chevaliers de l'Ordre de l'Hôpital, elle fut enrichie de biens par les donations du duc Mathieu Ier. Elle servit de beffroi, d'archivage et de clocher. Le duc René II y tint son quartier général en 1476 avant de livrer bataille contre Charles le Téméraire qui succomba le 5 janvier 1477, près de l'étang Saint-Jean. A la révolution, tous ces immeubles devinrent Biens Nationaux. ​ Le 29 septembre 1794, Joseph Lionnet, négociant en vins, racheta le domaine et édifia sa maison sur l'emplacement de la nef et un chais en bordure de l'avenue en contrebas, devenu aujourd'hui un parking ​ Le 19 janvier 1927, elle a été inscrite à l'Inventaire Supplémentaire des Monuments Historiques. elle est propriété de la ville de Nancy depuis le 22 décembre 1950. La tour, haute de 20m, est le seul vestige d’un Ensemble de bâtiments d'exploitation, de logements, de culte dont une chapelle formée d'une nef et d'un chœur, détruits vers 1880. À l’intérieur se trouvent juste des escaliers.
84 Avenue Foch
84 Avenue Foch
La Tour de la Commanderie Saint-Jean-du-Vieil-Aître est le plus vieil édifice visible de Nancy. Datant du XIIᵉ siècle, c'est l'un des rares monuments de style roman de la ville. La Commanderie est ainsi appelée en raison de son élévation près de l'ancien Aître (cimetière mérovingien) qui se trouvait à l'ouest de Nancy, près de l'étang saint-Jean. Edifiée vers 1170 par les chevaliers de l'Ordre de l'Hôpital, elle fut enrichie de biens par les donations du duc Mathieu Ier. Elle servit de beffroi, d'archivage et de clocher. Le duc René II y tint son quartier général en 1476 avant de livrer bataille contre Charles le Téméraire qui succomba le 5 janvier 1477, près de l'étang Saint-Jean. A la révolution, tous ces immeubles devinrent Biens Nationaux. ​ Le 29 septembre 1794, Joseph Lionnet, négociant en vins, racheta le domaine et édifia sa maison sur l'emplacement de la nef et un chais en bordure de l'avenue en contrebas, devenu aujourd'hui un parking ​ Le 19 janvier 1927, elle a été inscrite à l'Inventaire Supplémentaire des Monuments Historiques. elle est propriété de la ville de Nancy depuis le 22 décembre 1950. La tour, haute de 20m, est le seul vestige d’un Ensemble de bâtiments d'exploitation, de logements, de culte dont une chapelle formée d'une nef et d'un chœur, détruits vers 1880. À l’intérieur se trouvent juste des escaliers.
Cet hôtel particulier est un exemple remarquable parmi les demeures bourgeoises élevées à Nancy dans la seconde moitié du 19ème siècle. Sa construction a été achevée en 1872 par Léon Simon, célèbre pépiniériste lorrain et Président-fondateur avec Émile Gallé de la Société Centrale d‘Horticulture de Nancy. La rampe en fer forgé à l´intérieur est signée Jules Cayette. ​ Dans les années 1920, l'hôtel appartient à la famille Vilgrain, propriétaire des Grands Moulins de Nancy. Depuis l‘automne 1982, l´hôtel, propriété de la République Fédérale d’Allemagne depuis 1977, abrite le Goethe-Institut, la plus importante institution culturelle allemande au niveau mondial, dont la fonction est d'encourager les relations franco-allemandes et les échanges interculturels.
Goethe-Institut Nancy
39 Rue de la Ravinelle
Cet hôtel particulier est un exemple remarquable parmi les demeures bourgeoises élevées à Nancy dans la seconde moitié du 19ème siècle. Sa construction a été achevée en 1872 par Léon Simon, célèbre pépiniériste lorrain et Président-fondateur avec Émile Gallé de la Société Centrale d‘Horticulture de Nancy. La rampe en fer forgé à l´intérieur est signée Jules Cayette. ​ Dans les années 1920, l'hôtel appartient à la famille Vilgrain, propriétaire des Grands Moulins de Nancy. Depuis l‘automne 1982, l´hôtel, propriété de la République Fédérale d’Allemagne depuis 1977, abrite le Goethe-Institut, la plus importante institution culturelle allemande au niveau mondial, dont la fonction est d'encourager les relations franco-allemandes et les échanges interculturels.
En 1898, le domaine de Saurupt est légué aux Hospices de Nancy à la mort de son dernier propriétaire, Alfred Hinzelin. Sa veuve obtient finalement de conserver la propriété, mais elle est bientôt contrainte de se séparer d'une grande partie des terrains pour préserver le château. Son nouveau mari, Jules Villard, se lance alors dans la création d'un ambitieux lotissement de villas : le parc de Saurupt. Jules Villard fait appel aux meilleurs représentants locaux de l'Art nouveau, notamment Émile André et Henri Gutton, membres de l'École de Nancy, pour la mise en œuvre du projet qui est lancé en 1901. Le parc comporte 88 propriétés sur 18 hectares, il est fermé par des grilles majestueuses (la grille d'entrée est aujourd'hui remontée dans le square Jules-Dorget) et gardé par un concierge. Le nom de ce quartier, "Saurupt" signifie "le ruisseau des aules".
Parc de Saurupt station
En 1898, le domaine de Saurupt est légué aux Hospices de Nancy à la mort de son dernier propriétaire, Alfred Hinzelin. Sa veuve obtient finalement de conserver la propriété, mais elle est bientôt contrainte de se séparer d'une grande partie des terrains pour préserver le château. Son nouveau mari, Jules Villard, se lance alors dans la création d'un ambitieux lotissement de villas : le parc de Saurupt. Jules Villard fait appel aux meilleurs représentants locaux de l'Art nouveau, notamment Émile André et Henri Gutton, membres de l'École de Nancy, pour la mise en œuvre du projet qui est lancé en 1901. Le parc comporte 88 propriétés sur 18 hectares, il est fermé par des grilles majestueuses (la grille d'entrée est aujourd'hui remontée dans le square Jules-Dorget) et gardé par un concierge. Le nom de ce quartier, "Saurupt" signifie "le ruisseau des aules".

Guide des Quartiers

Le Faubourg des 3 maisons, en vieille ville de Nancy, est un quartier vivant, et un des seuls de la ville qui conserve encore une vraie "vie de quartier". Vous pourrez profiter ici de tous les commerces de proximité : boulangeries, boucherie, pâtisserie, coiffeur, pharmacie, supérette bio et non bio, bistrots et restaurants... Le quartier se trouve à proximité immédiate du Cour Leopold, de la place Carnot, du très prisé parc de la Pépinière, et à moins de 10 minutes à pied de la place Stanislas et du centre-ville de Nancy. Vous ne rencontrerez pas de difficulté à vous stationner dans le quartier, de nombreuses places étant disponibles à proximité immédiate, voir au pied de l'immeuble.
Rue du Faubourg des Trois - Maisons
Rue du Faubourg des Trois - Maisons
Le Faubourg des 3 maisons, en vieille ville de Nancy, est un quartier vivant, et un des seuls de la ville qui conserve encore une vraie "vie de quartier". Vous pourrez profiter ici de tous les commerces de proximité : boulangeries, boucherie, pâtisserie, coiffeur, pharmacie, supérette bio et non bio, bistrots et restaurants... Le quartier se trouve à proximité immédiate du Cour Leopold, de la place Carnot, du très prisé parc de la Pépinière, et à moins de 10 minutes à pied de la place Stanislas et du centre-ville de Nancy. Vous ne rencontrerez pas de difficulté à vous stationner dans le quartier, de nombreuses places étant disponibles à proximité immédiate, voir au pied de l'immeuble.
Traversées par deux bras d’eau, chargées des souvenirs d’un passé industriel faste, les Rives de Meurthe vivent une transformation profonde depuis les années 1990, avec l’arrivée de nouveaux logements, de zones d’activités économiques, d’équipements culturels, universitaires et ludiques. Un lieu de renaissance urbaine à découvrir et à vivre en vélo, au bord de l’eau. Un peu d'histoire Ce n’est qu’au XIIIème siècle qu’apparaissent sur ce secteur, entre remparts et rivière, quelques tanneries et moulins. Elles seront reliées à Nancy à la fin du XVème, avec la création du premier franchissement en pierres en 1499. C’est au siècle des Lumières que débute réellement le développement de cette partie Est de l’agglomération, avec la réalisation de l’axe Est/Ouest par Emmanuel Héré, le célèbre architecte de la place Stanislas. L’extension orientale de la cité prend appui sur cet axe majeur (aujourd’hui appelée route de Château Salins), qui constitue l’armature centrale de ces nouveaux quartiers. À partir du XIXème siècle, on assiste à la naissance de la nouvelle périphérie de Nancy, à travers le développement linéaire du bâti le long de toutes les principales voies d’accès. Commerçants, artisans, maraîchers, s’installent alors le long des faubourgs. La grande évolution urbaine intervient dans la deuxième moitié du XIXème siècle, avec la seconde révolution industrielle, la réalisation de grandes infrastructures (la ligne de chemin de fer de Paris à Nancy en 1845 et la construction du canal de la Marne au Rhin de 1838 à 1852) et l’arrivée de la bourgeoisie industrielle d’Alsace-Moselle. Des milliers d’« optants », personnes désirant garder la nationalité française, rejoignent en effet Nancy, fuyant les territoires occupés alors par l’Allemagne après la guerre de 1870. De nombreuses et nouvelles industries s’implantent à l’Est, investissant un espace entre le mur d’octroi et la Meurthe, secteur enfin assaini par la construction du canal. Les industriels obtinrent en 1876 une desserte par voie de chemin de fer entre Champigneulles et Jarville. En 1912, les nouveaux abattoirs sont transférés sur le boulevard d’Austrasie, le long d’une nouvelle artère reliant la gare Saint Georges au pont de Tomblaine (1906). La plupart des bâtiments qui sont parvenus jusqu’à nous ont été édifiés en 1912, constitués de structures métalliques, architecture moderne et innovante, rationnelle et économique en ce début du XXème siècle. Ce marché devient rapidement l’un des plus importants marchés aux bestiaux du grand Est. C’est après la Seconde Guerre Mondiale que le déclin s’amorce. Il sera surtout ressenti durant les années 1960 et 1970. D’un quartier considéré comme le plus vivant de l’agglomération de par ses activités multiples et prospères au début du XXème siècle, Meurthe Canal tombe dans la spirale du déclin en l’espace de quelques années (entre 1970 et 1985) pour aboutir à un quartier dépeuplé et parsemé de friches. Sa renaissance démarre dans les années 90, avec la création d’une ZAC « Stanislas-Meurthe » en 1993. Etendue en 1997, elle est rebaptisée en 2003 « Rives de Meurthe », traduisant la volonté d’ouverture de la ville vers une rivière enfin maîtrisée. Cette réconciliation avec la Meurthe a permis d’engager une transformation profonde du quartier. Emblématique du renouveau de Nancy, les Rives de Meurthe sont un espace de reconstruction de la ville sur elle-même, le long des rives de la rivière et du canal. Le quartier aujourd'hui Se promener ici, c’est d’abord embrasser l’histoire de Nancy. Le paysage des Rives de Meurthe rappelle en effet l’extension ancienne des faubourgs, la nécessité de franchir la rivière avec la multiplication des ponts, la force de l’activité artisanale et industrielle, avec ces grandes parcelles autrefois dédiées aux usines et entrepôts, et aujourd’hui les nouveaux îlots résidentiels. En marchant, on comprend que le développement du quartier s’est fait vite, au moment de la poussée urbaine après 1870, sans plan d’ensemble préétabli. Il en résulte une urbanisation spontanée et incontrôlée, très différente des quartiers plus anciens du cœur de la ville. La grande qualité de ce quartier est sans doute ses berges aménagées, le long de la rivière, du canal, du bras vert. Il est aussi jalonné de bâtiments remarquables hérités de l’époque industrielle (Les Grands Moulins Vilgrain, La Villa Alsacienne, les usines Alstom, Grande Halle), lesquels côtoient désormais l'architecture contemporaine, très présente (École d'Architecture, ENSGSI, Pole Nautique, L'Autre Canal...). Des espaces de vie très diverses Au quotidien, les Rives de Meurthe rassemblent des espaces de vie très diverses. Le nord et le sud sont des entrées d’agglomérations, avec des fonctions économiques et résidentielles. Le centre, de son côté, est à deux pas seulement de la place Stanislas. Les habitants bénéficient d’un tissu d’équipements publics qui s’étoffe progressivement : une crèche familiale de la ville de Nancy, 2 écoles maternelles, 1 école primaire, un grand pôle universitaire (INSET, écoles d’ingénieurs, école d’architecture, CFA hôtelier, formations optique et paramédicales), 2 MJC (Bazin et Trois Maisons), la salle L’Autre Canal, un complexe cinéma / bowling, un pôle nautique, le stade Matter (rugby), un lieu dédié au Karting et un boulodrome couvert.
Rives de Meurthe
Traversées par deux bras d’eau, chargées des souvenirs d’un passé industriel faste, les Rives de Meurthe vivent une transformation profonde depuis les années 1990, avec l’arrivée de nouveaux logements, de zones d’activités économiques, d’équipements culturels, universitaires et ludiques. Un lieu de renaissance urbaine à découvrir et à vivre en vélo, au bord de l’eau. Un peu d'histoire Ce n’est qu’au XIIIème siècle qu’apparaissent sur ce secteur, entre remparts et rivière, quelques tanneries et moulins. Elles seront reliées à Nancy à la fin du XVème, avec la création du premier franchissement en pierres en 1499. C’est au siècle des Lumières que débute réellement le développement de cette partie Est de l’agglomération, avec la réalisation de l’axe Est/Ouest par Emmanuel Héré, le célèbre architecte de la place Stanislas. L’extension orientale de la cité prend appui sur cet axe majeur (aujourd’hui appelée route de Château Salins), qui constitue l’armature centrale de ces nouveaux quartiers. À partir du XIXème siècle, on assiste à la naissance de la nouvelle périphérie de Nancy, à travers le développement linéaire du bâti le long de toutes les principales voies d’accès. Commerçants, artisans, maraîchers, s’installent alors le long des faubourgs. La grande évolution urbaine intervient dans la deuxième moitié du XIXème siècle, avec la seconde révolution industrielle, la réalisation de grandes infrastructures (la ligne de chemin de fer de Paris à Nancy en 1845 et la construction du canal de la Marne au Rhin de 1838 à 1852) et l’arrivée de la bourgeoisie industrielle d’Alsace-Moselle. Des milliers d’« optants », personnes désirant garder la nationalité française, rejoignent en effet Nancy, fuyant les territoires occupés alors par l’Allemagne après la guerre de 1870. De nombreuses et nouvelles industries s’implantent à l’Est, investissant un espace entre le mur d’octroi et la Meurthe, secteur enfin assaini par la construction du canal. Les industriels obtinrent en 1876 une desserte par voie de chemin de fer entre Champigneulles et Jarville. En 1912, les nouveaux abattoirs sont transférés sur le boulevard d’Austrasie, le long d’une nouvelle artère reliant la gare Saint Georges au pont de Tomblaine (1906). La plupart des bâtiments qui sont parvenus jusqu’à nous ont été édifiés en 1912, constitués de structures métalliques, architecture moderne et innovante, rationnelle et économique en ce début du XXème siècle. Ce marché devient rapidement l’un des plus importants marchés aux bestiaux du grand Est. C’est après la Seconde Guerre Mondiale que le déclin s’amorce. Il sera surtout ressenti durant les années 1960 et 1970. D’un quartier considéré comme le plus vivant de l’agglomération de par ses activités multiples et prospères au début du XXème siècle, Meurthe Canal tombe dans la spirale du déclin en l’espace de quelques années (entre 1970 et 1985) pour aboutir à un quartier dépeuplé et parsemé de friches. Sa renaissance démarre dans les années 90, avec la création d’une ZAC « Stanislas-Meurthe » en 1993. Etendue en 1997, elle est rebaptisée en 2003 « Rives de Meurthe », traduisant la volonté d’ouverture de la ville vers une rivière enfin maîtrisée. Cette réconciliation avec la Meurthe a permis d’engager une transformation profonde du quartier. Emblématique du renouveau de Nancy, les Rives de Meurthe sont un espace de reconstruction de la ville sur elle-même, le long des rives de la rivière et du canal. Le quartier aujourd'hui Se promener ici, c’est d’abord embrasser l’histoire de Nancy. Le paysage des Rives de Meurthe rappelle en effet l’extension ancienne des faubourgs, la nécessité de franchir la rivière avec la multiplication des ponts, la force de l’activité artisanale et industrielle, avec ces grandes parcelles autrefois dédiées aux usines et entrepôts, et aujourd’hui les nouveaux îlots résidentiels. En marchant, on comprend que le développement du quartier s’est fait vite, au moment de la poussée urbaine après 1870, sans plan d’ensemble préétabli. Il en résulte une urbanisation spontanée et incontrôlée, très différente des quartiers plus anciens du cœur de la ville. La grande qualité de ce quartier est sans doute ses berges aménagées, le long de la rivière, du canal, du bras vert. Il est aussi jalonné de bâtiments remarquables hérités de l’époque industrielle (Les Grands Moulins Vilgrain, La Villa Alsacienne, les usines Alstom, Grande Halle), lesquels côtoient désormais l'architecture contemporaine, très présente (École d'Architecture, ENSGSI, Pole Nautique, L'Autre Canal...). Des espaces de vie très diverses Au quotidien, les Rives de Meurthe rassemblent des espaces de vie très diverses. Le nord et le sud sont des entrées d’agglomérations, avec des fonctions économiques et résidentielles. Le centre, de son côté, est à deux pas seulement de la place Stanislas. Les habitants bénéficient d’un tissu d’équipements publics qui s’étoffe progressivement : une crèche familiale de la ville de Nancy, 2 écoles maternelles, 1 école primaire, un grand pôle universitaire (INSET, écoles d’ingénieurs, école d’architecture, CFA hôtelier, formations optique et paramédicales), 2 MJC (Bazin et Trois Maisons), la salle L’Autre Canal, un complexe cinéma / bowling, un pôle nautique, le stade Matter (rugby), un lieu dédié au Karting et un boulodrome couvert.
Nancy, contrairement à beaucoup de villes françaises, ne s'est pas développée circulairement autour d'un hyper-centre, mais dans un premier temps par l'adjonction d'une nouvelle ville (la Ville-Neuve de Charles III), au sud de la ville médiévale, puis par l'extensions de nouveaux ensembles urbanistiques au cours des siècles. Nancy est d’origine relativement récent. Au début XIe siècle, le duc Gérard 1er d’Alsace fait élever un ensemble fortifié sur le site de l’actuelle place du Colonel Fabien. Le duc établit dans ce qui est alors un hameau carolingien, son "Castrum Nanceium", château de halte, pour ses voyages entre les Vosges et la Champagne. Nancy est née. Situé au cœur de la cité, c’est le quartier historique le plus ancien. Constitué de petites rues sinueuses serpentant entre de vieilles bâtisses, c’était la ville des ducs de Lorraine. L’ancien palais ducal est devenu le Musée Lorrain, la chapelle des Cordeliers renferme les tombeaux des ducs de Lorraine. Ce quartier, constitué de la Ville-Vieille ainsi que du quartier situé à proximité directe du cours Léopold, comporte également le parc de la Pépinière, et la place de la Carrière. L'intégralité du quartier fait partie du secteur sauvegardé de Nancy et comporte l'une des trois places inscrites au patrimoine mondial de l'Unesco (place de la Carrière). Situé au cœur de la cité, c’est le quartier historique le plus ancien. Constitué de petites rues sinueuses serpentant entre de vieilles bâtisses, c’était la ville des ducs de Lorraine. L’ancien palais ducal est devenu le Musée Lorrain, la chapelle des Cordeliers renferme les tombeaux des ducs de Lorraine. Ce quartier, constitué de la Ville-Vieille ainsi que du quartier situé à proximité directe du cours Léopold, comporte également le parc de la Pépinière, et la place de la Carrière. L'intégralité du quartier fait partie du secteur sauvegardé de Nancy et comporte l'une des trois places inscrites au patrimoine mondial de l'Unesco (place de la Carrière).
Place Saint-Epvre
Place Saint-Epvre
Nancy, contrairement à beaucoup de villes françaises, ne s'est pas développée circulairement autour d'un hyper-centre, mais dans un premier temps par l'adjonction d'une nouvelle ville (la Ville-Neuve de Charles III), au sud de la ville médiévale, puis par l'extensions de nouveaux ensembles urbanistiques au cours des siècles. Nancy est d’origine relativement récent. Au début XIe siècle, le duc Gérard 1er d’Alsace fait élever un ensemble fortifié sur le site de l’actuelle place du Colonel Fabien. Le duc établit dans ce qui est alors un hameau carolingien, son "Castrum Nanceium", château de halte, pour ses voyages entre les Vosges et la Champagne. Nancy est née. Situé au cœur de la cité, c’est le quartier historique le plus ancien. Constitué de petites rues sinueuses serpentant entre de vieilles bâtisses, c’était la ville des ducs de Lorraine. L’ancien palais ducal est devenu le Musée Lorrain, la chapelle des Cordeliers renferme les tombeaux des ducs de Lorraine. Ce quartier, constitué de la Ville-Vieille ainsi que du quartier situé à proximité directe du cours Léopold, comporte également le parc de la Pépinière, et la place de la Carrière. L'intégralité du quartier fait partie du secteur sauvegardé de Nancy et comporte l'une des trois places inscrites au patrimoine mondial de l'Unesco (place de la Carrière). Situé au cœur de la cité, c’est le quartier historique le plus ancien. Constitué de petites rues sinueuses serpentant entre de vieilles bâtisses, c’était la ville des ducs de Lorraine. L’ancien palais ducal est devenu le Musée Lorrain, la chapelle des Cordeliers renferme les tombeaux des ducs de Lorraine. Ce quartier, constitué de la Ville-Vieille ainsi que du quartier situé à proximité directe du cours Léopold, comporte également le parc de la Pépinière, et la place de la Carrière. L'intégralité du quartier fait partie du secteur sauvegardé de Nancy et comporte l'une des trois places inscrites au patrimoine mondial de l'Unesco (place de la Carrière).

Gastronomie

Le marché central de Nancy occupe son emplacement depuis plus de quatre siècles, à l’entrée de la Ville Neuve de Charles III, à deux pas du Point Central. Les bâtiments actuels furent construits en 1852 par l'architecte Prosper Morey. ​ Regroupant près de 60 commerçants, 15 maraîchers et restaurants, c’est un beau bâtiment en forme de "U" dont la halle centrale, renommée depuis septembre 2017 Cour Jean-Pierre Coffe, est couverte d’une verrière. ​ Ce vaste bâtiment présente un visage différent selon le côté où l’on l’aborde : - rue St Dizier, il aligne les boutiques de fleurs, bouquinistes et petite restauration, on y entre par la Halle Centrale sous une imposante horloge, - sur ses deux ailes, les étals des marchands de vêtements s’adossent à ses murs, - à l’ouest, façade classique, il affiche une auguste sérénité et s’ouvre sur la large place Charles III.
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Marche Couvert de Nancy
Place Charles III
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Le marché central de Nancy occupe son emplacement depuis plus de quatre siècles, à l’entrée de la Ville Neuve de Charles III, à deux pas du Point Central. Les bâtiments actuels furent construits en 1852 par l'architecte Prosper Morey. ​ Regroupant près de 60 commerçants, 15 maraîchers et restaurants, c’est un beau bâtiment en forme de "U" dont la halle centrale, renommée depuis septembre 2017 Cour Jean-Pierre Coffe, est couverte d’une verrière. ​ Ce vaste bâtiment présente un visage différent selon le côté où l’on l’aborde : - rue St Dizier, il aligne les boutiques de fleurs, bouquinistes et petite restauration, on y entre par la Halle Centrale sous une imposante horloge, - sur ses deux ailes, les étals des marchands de vêtements s’adossent à ses murs, - à l’ouest, façade classique, il affiche une auguste sérénité et s’ouvre sur la large place Charles III.
La bergamote - du turc berg-armadé ou poire du seigneur - ressemble en effet à ces agrumes : zeste et quartiers la composent. On la récolte principalement de fin novembre à février. Les arbres bergamotiers aiment les régions chaudes : la Calabre en est la plus grosse productrice, on la trouve également dans tout le bassin méditerranéen. ​ La Bergamote de Nancy, petits écus carrés couleur soleil, régalent les fins palais depuis plus d'un siècle. D'après la tradition orale, ils seraient nés à Nancy aux environs de 1850, de l'inspiration d'un confiseur de la place. Préparant un sucre cuit, il aurait eu l'idée d'y introduire quelques gouttes d'essence de bergamote… La Bergamote de Nancy est un sucre cuit qui exige, si l'on veut obtenir un produit de qualité parfaite, d'être exécuté suivant les plus anciens procédés, inchangés depuis sa création.
Biscuiterie Confiserie Chocolaterie Lefèvre Lemoine Bergamottes et Macarons de Nancy
47 Rue Henri-Poincaré
La bergamote - du turc berg-armadé ou poire du seigneur - ressemble en effet à ces agrumes : zeste et quartiers la composent. On la récolte principalement de fin novembre à février. Les arbres bergamotiers aiment les régions chaudes : la Calabre en est la plus grosse productrice, on la trouve également dans tout le bassin méditerranéen. ​ La Bergamote de Nancy, petits écus carrés couleur soleil, régalent les fins palais depuis plus d'un siècle. D'après la tradition orale, ils seraient nés à Nancy aux environs de 1850, de l'inspiration d'un confiseur de la place. Préparant un sucre cuit, il aurait eu l'idée d'y introduire quelques gouttes d'essence de bergamote… La Bergamote de Nancy est un sucre cuit qui exige, si l'on veut obtenir un produit de qualité parfaite, d'être exécuté suivant les plus anciens procédés, inchangés depuis sa création.
Toujours composés d'amandes, de sucre et de blancs d’œufs, les macarons sont probablement nés au cours du VIIIème siècle dans les cuisines des monastères vénitiens. « Macarone » signifie « pâte fine » dans la langue de cette province. Ils auraient alors pris la forme d'un nombril de moine. ​ Huit siècles plus tard, ils sont arrivés en France dans les bagages de Catherine de Médicis, à l'occasion de son mariage avec le Duc d'Orléans. Ils devinrent ensuite des spécialités régionales par le biais des nonnes qui en fabriquaient dans des monastères, comme à Nancy. ​ La révolution supprima les congrégations religieuses, deux sœurs de ce couvent (Marguerite et Marie-Elisabeth) trouvèrent refuge dans une famille de Nancy au n°10 de la rue baptisée "rue des Sœurs Macarons" en leur hommage. Elles y fabriquèrent des macarons et les vendirent sur les marchés. C'est ainsi que sont nés, grâce à elles, les toujours célèbres Macarons de Nancy
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Maison Des Soeurs Macarons
21 Rue Gambetta
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Toujours composés d'amandes, de sucre et de blancs d’œufs, les macarons sont probablement nés au cours du VIIIème siècle dans les cuisines des monastères vénitiens. « Macarone » signifie « pâte fine » dans la langue de cette province. Ils auraient alors pris la forme d'un nombril de moine. ​ Huit siècles plus tard, ils sont arrivés en France dans les bagages de Catherine de Médicis, à l'occasion de son mariage avec le Duc d'Orléans. Ils devinrent ensuite des spécialités régionales par le biais des nonnes qui en fabriquaient dans des monastères, comme à Nancy. ​ La révolution supprima les congrégations religieuses, deux sœurs de ce couvent (Marguerite et Marie-Elisabeth) trouvèrent refuge dans une famille de Nancy au n°10 de la rue baptisée "rue des Sœurs Macarons" en leur hommage. Elles y fabriquèrent des macarons et les vendirent sur les marchés. C'est ainsi que sont nés, grâce à elles, les toujours célèbres Macarons de Nancy
Ce gâteau est le dessert des fêtes de familles par excellence. Le Saint-Epvre, est préparé avec les ingrédients suivants : meringues aux amandes, crème au beurre à la vanille bourbon et de la nougatine pilé. ​ Le pâtissier Xavier Dalisson, sis place Saint-Epvre, créa ce nouveau gâteau en 1895, pour commémorer le vingtième anniversaire de la consécration de l'église Saint-Epvre, reconstruite à Nancy de 1867 à 1875. ​ La marque est déposée en 1907 par Xavier Dalisson, juste avant l’exposition universelle de Nancy en 1909. Seule la marque est déposée, pas le modèle.
PÂTISSERIE SAINT-EPVRE
3 Pl. Saint-Epvre
Ce gâteau est le dessert des fêtes de familles par excellence. Le Saint-Epvre, est préparé avec les ingrédients suivants : meringues aux amandes, crème au beurre à la vanille bourbon et de la nougatine pilé. ​ Le pâtissier Xavier Dalisson, sis place Saint-Epvre, créa ce nouveau gâteau en 1895, pour commémorer le vingtième anniversaire de la consécration de l'église Saint-Epvre, reconstruite à Nancy de 1867 à 1875. ​ La marque est déposée en 1907 par Xavier Dalisson, juste avant l’exposition universelle de Nancy en 1909. Seule la marque est déposée, pas le modèle.

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